Receuil sur une tombe

Invité

Aiolso était la seul sur le sable,une rose a la main,fixant le bord de mer,le dernier endroit ou il avait vu sa dulciné,son ame soeur.Le Saint était la les yeux fermée.ses lèvres bougeait et il semblait murmuré quelque chose.

Ça fait déjà des mois que t'es partie, me laissant seul
Me voilà aujourd'hui devant toi, assis sur le sol
Entre les fleurs, le marbre et toutes ces dalles sombres
Je ne peux voir que ton prénom inscrit sur cette tombe
La suite de ma vie, tu sais a tellement changé
On dit que c'est ainsi et que le temps va me faire oublier
Malgré les jours passés, je n'y arrive pas
Et jour et nuit, je pense à toi

J'entends souvent ton rire, le son de ta voix
J'ai même des souvenirs qui me reviennent des fois
Les réalités, complicité du passé
De tout ce que l'on a fait ensemble et que rien ne peut effacer
Et pourtant, il y a ce sentiment de colère
Qui m'envahit comme un aimant attiré par le fer
Putain de maladie qui ne s'arrête pas
J'n'étais pas là pour ton dernier combat

Je vais rester debout, continuer mon chemin
A prendre encore des coups, ça va dépendre des lendemains
Un jour tu m'as dit que la vie ressemble à un bouquin
Qu'il y a le début, le milieu et bien sûr la fin
C'est sûr, aujourd'hui je sais où j'en suis
Je viens de finir le dernier chapitre de ta vie
Tu peux partir en paix , toi seule avais raison
Et rendez-vous sur l'Ile d'Avalon

J'entends souvent ton rire, le son de ta voix
J'ai même des souvenirs qui me reviennent des fois
Les réalités, complicité du passé
De tout ce que l'on a fait ensemble et que rien ne peut effacer
Et pourtant, il y a ce sentiment de colère
Qui m'envahit comme un aimant attiré par le fer
Putain de maladie qui ne s'arrête pas
J'n'étais pas là pour ton dernier combat

J'n'étais pas là pour ton dernier combat

Le saint jetta la rose sur le sol et s'assit au sol fixant l'horizon...

Invité

Une rose blanche tomba dans la mer puis plusieurs suivirent le même chemin. Artémis était là debout aux côtés de Aiolos. Les yeux fermés, elle mumurait:

Ce soir, la lune rêve avec plus de paresse ;
Ainsi qu'une beauté, sur de nombreux coussins,
Qui d'une main distraite et légère caresse
Avant de s'endormir le contour de ses seins,

Sur le dos satiné des molles avalanches,
Mourante, elle se livre aux longues pâmoisons,
Et promène ses yeux sur les visions blanches
Qui montent dans l'azur comme des floraisons.

Quand parfois sur ce globe, en sa langueur oisive,
Elle laisse filer une larme furtive,
Un poète pieux, ennemi du sommeil,

Dans le creux de sa main prend cette larme pâle,
Aux reflets irisés comme un fragment d'opale,
Et la met dans son cœur loin des yeux du soleil.

Invité

Aiolos fut surpris par un cosmos.étant émotionnelement perturbé,le Saint fit volte-face,son cosmso en effervescence.il reconnu la beauté des vers de la personne avant de reconnaitre la beauté stupéfiante de la déesse qui se dressait a ses coté.

Déesse,votre présence ici m'honore,
Elle est comme une éloge au mort,
Ceux qui sont tombé sous les coup Acharné,
Des moultes ennemis qui entravent a la paix.

Je ne puit retenenir mon émotion,
Ni meme maitriser ce que je ressent,
Votre regard,me forge un opinion,
Celui que jamais je ne n'oublierai le Sang

Celui qui a couler il a peu de temp,
Celui qui crea une passion ardente,
Celui qui me ramène a se triste présent,
Celui pour qui je me battrai,contre toute attente....

Invité

Artémis fut troublée par les vers prononcés par Aiolos. Elle sortit de sa tunique une grande rose rouge qu'elle serra fort. Les épines lui blessèrent la paume mais elle n'en tient pas compte. Elle jeta la fleur dans l'eau où elle flotta quelques instants avant de sombrer.

J'ai longtemps habité sous de vastes portiques
Que les soleils marins teignaient de mille feux,
Et que leurs grands piliers, droits et majestueux,
Rendaient pareils, le soir, aux grottes basaltiques.

Les houles, en roulant les images des cieux,
Mêlaient d'une façon solennelle et mystique
Les tout-puissants accords de leur riche musique
Aux couleurs du couchant reflété par mes yeux.

C'est là que j'ai vécu dans les voluptés calmes,
Au milieu de l'azur, des vagues, des splendeurs
Et des esclaves nus, tout imprégnés d'odeurs,

Qui me rafraîchissaient le front avec des palmes,
Et dont l'unique soin était d'approfondir
Le secret douloureux qui me faisait languir.

Invité

Aiolos regarda le sang couler sur la paume de la déesse,un sang si précieux,un sang qui donnait vie a un corp si magnifique.LE saitn savait qu'au fond de lui il n'était pas indifférent a Artémis,mais il savait que les Dieux n'avait pas coutume d'avoir des romances avec les mortels.

Votre beauté n'a dégal,
Que la lumière intersidéral,
Et il ne serait pas légal,
De renier votre beauté fatal

Mais,mon amour vous ne pouvez prendre,
Bien que de toute beauté vous ayez la plus grande,
Mon coeur déchu ne peut apprendre,
a garder en moi mes ardeur les plus tendres....

Invité

Artémis se rendit compte que son sang coulait sur les manches. Elle serra sa main contre son coeur et tourna la tête vers Aiolos.

Vos paroles sont belles cher chevalier mais tellement tristes.

Elle tourna le visage vers le ciel et dit :

Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !

Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.

Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige,
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.

Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige !
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige...
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir !

Invité

Aiolos fut touché par les paroles del a déesse au coeur d'argent.le Saint s'approcha de a falaise qui surplombait le bord de mer et il regarda l'horizon,il n'avait plus le coeur a parler.

il ne cherchait plus que l'élément quie l'accrocherai a se monde,ou alors qui lui permettrai de reposer en paix dans les étoiles.....

Invité

Artémis s'avança jusqu'au bord et se pencha de manière assez dangereuse. Elle sonda l'eau avant de dire quelque chose.

Qu'avez-vous Aiolos?

Invité

Aiolos se tourna et regarda la déesse s'éforcant de cacher la souffrance qui le hantait.

depuis sa mort je ne susi qu'une ombre,ma vie n'a plus de sens.jusqu'a il y a quelque temps je penseait ne jamais me relever,mais un autre amour a ranimé mon coeur,mais hélas ceci est un amour impossible....

Invité

Elle se redressa et fit apparaître une flèche dans sa main. Elle la pointa sur le coeur de Aiolos.

Ton amour est mort. Il faut tourner cette page. Si tu aimes de nouveau comme tu sembles le dire, pourquoi ne pas te battre pour faire tomber les barrières qui vous sépare?

Elle s'écarta de la falaise et alla s'asseoir sur un rocher. Repliant les genoux pour mettre ses bras autour.

Invité

Le Saint posa sa main sur la flèche,la poussant vers le bas.il alla s'assoir a coté de la déesse.Il al regarda et se fit une raison.jamais il ne pourrait obtenir ce qu'il désiré le pls uau monde

Déesse,me battre pour ce que je veux,reviendrai a tuer et a commètr eun atroce crime,contre l'un de mes frère d'armes....

Invité

Les yeux d'Artémis exprimèrent la crainte et l'horreur. Comment n'avait-elle pas pu voir de qui parlait Aiolos? Elle se mit à frissonner et se leva précipitamment. Elle faillit trébucher mais retrouva son équilibre de justesse. Elle ne puvait regarder le chevalier en face.

Comment est possible? Je n'ai ...

Elle préfèra se taire et se tourner ves l'Océan. Ses mains étaient refermées autour de ses bras pour faire cesser les tremblements. Ses longs cheveux battaient le vent.

Invité

Aiolos vit la crainte de la déesse.il avait donc bien compris que les Dieux ne pouvait aimer les mortel.Mais se fut soudain au tour du Saint de s'éffrayer.

Mais si les Dieux ne peuvent aimer les mortels c'est que...

Aiolos laissa ses yeux s'écarquiller.il venait de réaliser quelque chose de terrible.

Si Shun a votre amour c'est qu'il est soit un Dieu soit la réincarnation d'un Dieu....et ceci est problème pour le sanctuaire..Déesse savait si Shun peut etre un Dieu ?

Invité

Si Shun a votre amour c'est qu'il est soit un Dieu soit la réincarnation d'un Dieu....et ceci est problème pour le sanctuaire..Déesse savait si Shun peut etre un Dieu ?

Elle se retourna vers le chevalier furieuse. Elle marcha vers lui d'un pas décidé qui trahissait sa colère. Elle attrapa Aiolos par le cou et l'obligea à se relever.

Si tu touches un cheveux de Shun, chevalier du Sagittaire, tu mourras et Athéna ne pourra pas te ramener. Est-ce que tu as bien entendu?

Elle lâcha Aiolos et se retourna vers l'Océan.

Invité

Aiolos ne bougea pas sentant son corps se soulever lentement.il fut jetté au sol.le saint se releva.il regarda Artémis,ne prenant pas le temps de frotter le sable sur armure

Jamais je ne everai la main sur Shun....Avant d'être votr eamour,il est aussis l'un des chevalier defenseur de la paix....ne me méprenez pas déesse,ne croyez pas que mes sentiments passe avant mon devoir,j'ai fait voeux de probité....donc d'honneteté,de justice et d'honneur....

Invité

Artémis s'adressa à Aiolos sans se retourner. La mer était de plus en plus déchaînée et il serait bientôt l'heure...

Chevalier, n'oublie jamais tes paroles. Ce qui t'attend est loin d'être des plus agréables et seul ta loyauté envers Athéna pourra te sauver d'une mort certaine.

Elle tourna la tête vers lui au moment où l'eau qui venait de mourir sur les rochers montait jusqu'à eux.

Invité

Aiolos regarda la mer et les vagues mourrir sur les rochers.Le jeune chevalier au beaux cheveux blond regarda la docue déesse,prononcé les tendres paroles qui devait lui donner le courage de vaicnre au nom de la paix.

Déesse,je dois vous avouer que ce n'est pas ma foix en Athéna qui va me protéger,mais c'est mon seul désire de faire la paix sur terre

Invité

Elle se retourna vers lui, ferma les yeux et tourna le visage vers le ciel. Elle resta ainsi quelques secondes puis s'avança. Elle l'embrassa sur la joue et siffla. Son char arriva avec des servantes en habits de guerre. Avant de monter, elle lui dit ses dernières paroles.

Il est temps que je m'acquitte de ma promesse faîte à ma soeur Chevalier du Sagittaire. Après nous serons ennemi.

Elle fit claquer les rênes et partit.